suite en vers libre
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la balance du monde éclate en ecchymoses il tombe une cire drue de grand remous nous disons quel malheur quelle haleine de cave et nous attendons le long des murs que la lumière vide la boue entraine le haut ciel à faire entendre raison aux armes au feu futile de l’acier immonde des despotes mais qui pour servir la vie la résidence de toute la créance à la Terre des Vivants qui pour servir la porte du repos à l’aube et dans la brume la seule bâtie sans verrou qui pour servir l’ordinaire aborder aujourd’hui et cueillir sous les lames la soie de l’Homme enroulée sans fin à son seul fuseau la liberté
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Beau texte pour un si triste moment.
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Merci, Luc!
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Si nos mots avait quelque poids sur les despotes…Merci Geneviève, très beau texte.
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Merci, Jean-Marc!
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Texte vibrant et résonnant Merci pour la force de tes propos
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Merci pour l’écho!
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Oui, on se demande Qui ? Et que peuvent les mots contre la folie des tyrans? etc…Beau texte pour mille questions
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Merci, Joël!
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Un texte fort et poignard.
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Un texte fort et poignant
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Je suis touchée. En union de pensées, Charef, cher ami!
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