suite en vers libre
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J’use mes bras à te couvrir du ciel qui éteint le bleu Tes derniers mots jusque dans mon cou Mon cœur cogne encore Laisse-le détacher seul ton reflet Prendre sa douleur Je ne veux rien effacer de toi Maintenant puisque tu dois pars, là ~ Jamais ne t’oublierai au rythme même des saisons et des marées du jour et de la nuit.
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NDLR (Vève): les trois derniers vers = emprunt à Robert Desnos, poète surréaliste et résistant français (1900-1945).