poème en vers libre

les pas de ma mère tanguent dans l’ivoire de mon souvenir au tempo du dehors celui d’un ruisseau qui déferle son printemps d’orage blanc et de noeuds soudain là comme l’amour d’une vie de ciel aux reflets de terre bleue

NDLR (Vève): les mots « terre bleue » sont un emprunt au poète Paul Éluard (1895-1952).
C’est souvent que les souvenirs semblent couleur d’ivoire.
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Votre poème est très beau , Geneviève. Il fait écho à mes pensées dans Êtres de Solitude, poèmes écrits pour ma mère, 1919.
Epure du poème qui dit le sentiment.
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Bon matin Vève,
Wow! poème tout en douceur. Les souvenirs sont impérissables.
Bonne journée à toi et à tous tes lecteurs !
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Bel hommage !
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Le souvenir de la mère évoque la renaissance au printemps. très belle réflexion !
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Merci d’être passée, chère amie!
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