poésie en vers libre
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à midi
j’étais écartelée entre les arbres
j’ai tourné la langue dix fois dans ma bouche
et depuis je ne rêve ni ne m’éveille
il fait des ocres dans le ciel
et je sais seulement relever les arêtes métalliques
suis-je pareille à l’oiseau qui picore la mince terre pauvre
mais à te lire
le sauvage viendra réchapper le jour
et la mer trempée de lumière et d’eau déposera sa semence
— dis-moi quand me donner au chant du monde
je veux être celle à t’aimer le plus
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POÉSIE
Encore un qui nous fait tout doucement rêver, tout doucement aimer.
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Encore un qui nous fait tout doucement rêver, tout doucement aimer.
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Oh! Tant plaisir, cher Daniel! ✨
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Beau poème entre désespoir et espoir.
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Merci pour l’écho de ton passage, Jean-Marc!
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Superbe ! ❤
Merci Geneviève
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Tant plaisir.
Merci pour le compliment, Laurence!
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