poésie en vers libre
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c’est danser sur la lumière
sans avoir à rompre le silence
c’est se dégager de l’emprise stupide de la lampe
sans avoir à assommer le bois de coups de marteau
le monde est déjà si hostile
on s’arrache au tumulte
et aux cris de mort
voici bien avril
son éclat sur des milliers d’écorces
il a choisi ce millénaire
pour de bonnes aubes
le grand orchestre à ébranler de bourgeons encore
— un escabeau où se suspendre à l’unisson
à la paix toute dispose
… … … …
Au premier plan, les branches graciles de l’amélanchier bourgeonnant.
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QUI SUIS-JE | À PROPOS
Les mots, la vie 
Chère Geneviève, Belle poésie d’espoir! Ai beaucoup aimé. Merci de partager ces mots.
Monique
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Merci à toi, chère Monique, d’apprécier et de l’écrire!
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