suite en vers libre
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j’ai sous ma chemise une soie rugueuse vrillant au bout de la ligne à naître une banderole de vent debout que le passé lointain moissonne à chaque printemps je préfère aux voix qui pillent mes larmes elles me vivent me pressent le pouls — à force de fragilité des ombres il y a longtemps que le ciel se balance en corps de blé sur ma tête
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PUBLICATIONS
Merci, Geneviève…
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Merci pour ta lecture, Caroline!
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Chaque relecture m’envoie de nouvelles images, de nouvelles pensées, élève ma réflexion
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Quelle joie du partage en poésie, alors, chère amie!
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