suite en vers libre
… … … …

… … … …
je n’ai pas grandi près du corps espace défait une ascèse par défaut à cause de la voix de plomb cassure d’épaules peaux excédées excédantes de voies divines ça m’a brûlé les cordes mais les hommes sont venus leurs tempos de reins m’ont donné du chant des saisons une maison d’étain j’écris tout parce que j’ai grandi avec non (dire oui c’est comment) même si la vie me dévore comme le matin l’eau toi qui cours ma chevelure à morsure de soleil si fort et libre entre mes jambes un je t’aime contre un petit oui si fort que les fées féroces claquent la porte — ce n’est jamais délicat la nudité d’un son
… … … …
PUBLICATIONS
Merci Geneviève pour ce magnifique texte! Très touchant….
J’aimeAimé par 1 personne
Merci pour l’écho!
J’aimeAimé par 1 personne
Magnifique
J’aimeJ’aime
Merci!
J’aimeJ’aime
merci…
J’aimeJ’aime
Magnifique ! Quel beau texte Geneviève. Merci….A+Andrée Envoyé depuis mon appareil Galaxy
J’aimeAimé par 1 personne
Merci, Andrée!
J’aimeJ’aime
Superbe audace des mots pour une parole si bien distillée. Merci Geneviève
J’aimeJ’aime
Merci à toi, Jean-Marc. Heureuse de cet espace de rencontre!
J’aimeAimé par 1 personne
ça dit tout et ça dit . . . tout.
J’aimeJ’aime
Grâce aux mots, là! Merci, Luc.
J’aimeJ’aime
Oui, très beau et émouvant
J’aimeJ’aime
Merci, Joël, de respirer avec moi!
J’aimeJ’aime