suite en vers libre
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gaie petite d’un seul bond la mésange dans l’heure sur la vergue d’hiver note à note elle patiente l’air moite et trille le mystère permanent de l’éphémère sans fatigue ni variante
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Les mots, la vie 
J’ai la même à la maison, tu as vu ? Enfin il me semble…je ne suis pas spécialiste des oiseaux.
Mais celle là brave la neige !
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Merci, Jean-Marc.
J’aime l’idée que ce puisse être la même… 😊
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Très joli ! La mésange réchauffe les coeurs durant la saison morte, elle nous raccommode avec la nature.
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Oui, chère amie.
Si précieuse pour tout cela.
Merci pour l’écho!
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