suite en vers libre
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on y rêve depuis l’enfance on y croit les paumes ouvertes et chaudes on le regarde entre nos lèvres à venir — l’oiseau qui tournoie qui soulève le sable qui perce la toile d’araignée d’un coup d’aile (ne m’attends plus j’ai trouvé la petite île du vertige)
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on y croit les paumes
ouvertes et chaudes.
Merci Geneviève.
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Merci pour ton regard, Christophe!
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L’extraordinaire de la nature qui nous transcende. Vraiment très joli
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Tant plaisir, chère amie!
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