suite en vers libre
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le Temps soudain si doux exubérant de vert d’eau de printemps — mais j’écris à mes amours malaisés l’invisible est long dans mes artères et je n’ai pas douze bras comme l’érable pour étouffer la tendresse enflée de vos regards
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Envie de lire « Souffles avant », mon recueil de nouvelles paru l’année dernière? Il est disponible à prix tout doux et mini-format (89 pages – il se glisse dans le baise-en-ville ou le sac à main). Pour un résumé et les détails d’achat ou de commande, c’est par ici ➡️ https://lesmotslavie.com/publications/ Acheter et lire un livre, c’est renvoyer l’Homme à sa condition première d’humanité (je paraphrase Cynthia Fleury, psychanalyste et philosophe). 🤩
Ah, l »amour des arbres !
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Merci d’apprécier, Joël! 🪴
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Ce songe est si sensible et beau.
Bonne journée Geneviève
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Tant plaisir, Jean-Marc!
Belle et bonne fin de journée à toi.
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Quelle belle poésie, j’aime le rôle de tendresse donné à l’arbre
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Merci d’apprécier, chère amie!
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