suite en vers libre
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je cours avec toi printemps et laisse le soleil cogner doucement la voix des bourgeons qui disloquent la lumière petits morceaux dans ma tête comme des patiences abandonnées par les Anciens sous le poids des arbres sûrs du noir j’ai peur d’ouvrir la maison et de secouer le froid d’hier te souviens-tu de l’encre au bout de mon innocence? si je ne parle pas comment faire silence?
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Envie de lire « Souffles avant », mon recueil de nouvelles paru l’année dernière? Il est disponible à prix tout doux et mini-format (89 pages – il se glisse dans le baise-en-ville ou le sac à main). Pour un résumé et les détails d’achat ou de commande, c’est par ici ➡️ https://lesmotslavie.com/publications/ Acheter et lire un livre, c’est renvoyer l’Homme à sa condition première d’humanité (je paraphrase Cynthia Fleury, psychanalyste et philosophe). 🤩
Belle sonorité printanière !
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Merci pour ton regard, chère amie! Un printemps qui renaît. L’éveil à la liberté, au propre et au figuré.
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Tentative de contact via blog ! G.Maurin
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Sur le causse du Quercy, grisaille, pluie, froidure.
Comment joindre une photo pour vous faire partager ce jour de printemps !
Pierre Bigongiari, traduit par Jaccottet : »
» Il n’est d’autre demeure que dans l’angle
de cette aube qui s’ouvre, hors de la mort … «
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