suite en vers libre
… … … …
Déjà plus la nuit ne tient sous les draps après la dernière foudre Déjà! la hauteur trop lente du chambranle joue mal l’adieu la voix gratte aux os et fend là où les mains ne passeront plus Déjà! que les épaules d’ébène s’enfoncent sous la surface du rêve vaincu déjà! Peut-être n’est-ce que la lune et les ombres folles de ses ailes?
… … … …

Évanescence me vient à l’esprit !
J’aimeJ’aime
Oui, comme la lumière! Merci pour l’écho de ton passage!
J’aimeJ’aime