suite en vers libre
À l’instar de l’anémone je borde le large filament par filament Après le baiser je m’enroule à ton oreille et glisse jusqu’à la pointe de ton cœur De fois en fois j’apprends à solfier l’enseigne accrochée: homme de traversée J’aime quand la lente étrave fend la rade de tes yeux Mais j’ai trop de mes bras quand la corne sonne … … … …
