suite en vers libre
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je rampe l’orage du partage le farouche de l’amour je suis dans la chambre noire impatiente à tes tempes et nul ailleurs c’est ton vivant salin ton parfum de bois d’herbage dans la stridence de l’haleine quand le sofa-pirogue est un violoncelle de masques le feu est rauque jusque dans mon rêve c’est un moment où je vois le fleuve dans son habit de corps couché — et pourtant c’est toi c’est bien nous deux nos paupières croisées à sang
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(aquarelle & crayons sur toile).
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Très beau, Geneviève.
Merci.
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Tant plaisir, Jean-Marc.
Merci à toi pour l’écho!
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