suite en vers libre
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elle se retire amie douleur nudité irrigation brûlante mais ce pourrait être la pluie la mer le vent l’air — ce jumeau nécessaire à la mort à l’abandon au manque à l’inoubliable après il pousse des braises pour venir fragmenter les bois et les cieux — ce destin que tu as froissé à te sauver quand rien sauf l’écorce ne jaillissait de ta langue tant — tout émerveille et fait signe
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Envie de lire « Souffles avant », mon recueil de nouvelles paru l’année dernière? Il est disponible à prix tout doux et mini-format (89 pages – il se glisse dans le baise-en-ville ou le sac à main). Pour un résumé et les détails d’achat ou de commande, c’est par ici ➡️ https://lesmotslavie.com/publications/ Acheter et lire un livre, c’est renvoyer l’Homme à sa condition première d’humanité (je paraphrase Cynthia Fleury, psychanalyste et philosophe). 🤩
Très beau !
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Merci, Joël! 🙏🏻🌺
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Très beau Geneviève! Fulgurant même quand on pense à l’histoire de l’Ukraine. Oui, un très beau texte.
Belles Pâques dans ce qui fait signe en Renouveau. Je t’embrasse.Françoise S.
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En union de pensées, je t’embrasse tendresse, Françoise!
« Déchiffreuse, défricheuse, la poésie irrigue le réel plus que toute autre forme de discours. Encore et toujours, elle dessine inlassablement la vraie géographie mentale de la planète. »
[Zéno Bianu.]
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