suite en vers libre
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laisse à la nuit l’inexplicable le souffle de la plaine son attente tiède et l’eau du soleil pour lui rendre l’impatience de la Terre je suis un peu comme ça aussi l’orage est un vide qui traverse je t’ouvrirai notre maison comme une porte au chaos du lieu depuis ces jours défoncés visages et paroles d’une saison à retrouver n’entends-tu pas le ciel changer sous la friche
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Reproduite ici avec son aimable autorisation.
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Envie de lire « Souffles avant », mon recueil de nouvelles paru l’année dernière? Il est disponible à prix tout doux et mini-format (89 pages – il se glisse dans le baise-en-ville ou le sac à main). Pour un résumé et les détails d’achat ou de commande, c’est par ici ➡️ https://lesmotslavie.com/publications/
Acheter et lire un livre, c’est renvoyer l’Homme à sa condition première d’humanité (je paraphrase Cynthia Fleury, psychanalyste et philosophe). 🤩
Beau…
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Tant plaisir, BarbaraSoleil!
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Oh, c’est très beau Geneviève !
Merci.
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Tant plaisir, Laurence!
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Le ciel changer sous la friche….
Si seulement.
Belle journée
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Par la poésie, inspirer l’humain à allumer « d’autres lumières » pour parler l’avenir.
Croyons-y.
Belle journée à toi, Jean-Marc. Merci pour l’écho de ton passage.
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