suite en vers libre
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j’entends les arbres rêver dans mon clos ce ne sont plus tes doigts sur ma toison de sang j’ai dit je repriserai les cinq œillets de ta chemise mais avec un seul fil après je t’ai perdu comme l’arpège grimpé trop vite reste ton chapeau rouge il me ronge les yeux
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Merci de votre appui! 🤩
Mélancolie, nostalgie. Déchirant…
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Merci de m’écrire votre regard si sensible, Joël!
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Magnifique chère Genevieve, pure poésie que tu nous donnes à lire ici. J’ai perdu le fil , les images se succèdent, les couleurs : c’est beau à couper le souffle. Comme un bouquet d’œillets rouges.
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Merci, chère Nathalie, pour l’écho de ton passage. Pensées et affection!
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Quoi que de plus beau que cette poésie que tu nous offres Vève. Merci pour cet agréable partage.
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Tant plaisir, cher ami!
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L’arpège à rejouer non ? S’il veut bien s’y laisser tinter.
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Oui, Alexandre. Quelque chose résonne toujours, qui relance…
Merci pour l’écho de votre passage.
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