poésie en vers libre
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De petits chalutiers sur les zigzags mous. La poutre du tien dépasse. Tu rentreras, poussé par la trouée du jour et la soif, à l’avant du tirant, et tu rempliras le chambranle de ton ample silhouette hirsute avant d’entrer et de boire mon lait de lune. En t’attendant je remonte les veinures du sable et je patiente l’écoulement de ta voix ~ ces mots de ciels ces mots d’océan que tu rapportes et dont j’ai besoin (tu sais, oui) pour les pages vierges de mon cahier ➖pénétrer l’origine du soleil.
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Beau… merci, Vève.
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Tant plaisir, Caroline!
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Oui, merci beaucoup et alors cette photo qui s’unit si bien à votre poésie entraîne aussi vers l’origine du large, merci à votre ami photographe Thierry Mathiasin, très bon week-end
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Merci de tout cœur! Heureuse de vous entraîner… 🌊💙
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