suite en vers libre
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C’est sous le chapeau heures pourpres d’amour reste du suc sur le blé et ce projet fleurir le fruit timide Penses-tu à la mémoire celle de la neige celle de l’été et ce projet mûrir le corps Portes-tu le miroir au vent, la pulpe ses alvéoles d’argile et ce projet prendre âge Le mystère trace sa légèreté sa grâce incrédule son enveloppe à l’origine de ton cou Et tu t’éblouis dans la membrane d’hier à aujourd’hui dénouée de parfums et de vie ➖ oh toi!
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Source photo: FB (Ars gratia artis – mutatis mutandis).
C est beau….
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Merci! ✨❣️
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J’aime beaucoup !
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Jean-Marc, merci!
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J’avais laissé un commentaire (mobile!) mais… car je suis touchée par ta belle capacité de parler des âges de la femme en images très séduisantes dans ton texte selon une peinture. Merci Sève!
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Merci pour ton regard si sensible, Françoise! Tu as su tout saisir. ✨❣️
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