suite en vers libre
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La lumière a laissé de l’oubli sous la chaise j’ai compté jusqu’à vingt et me suis mise à marcher je ne sais pas si c’est ma langueur qui creusait le ventre du ciel ou si l’air s’enlisait mais j’entendais les constellations chavirer des écailles.
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Les mots, la vie 
C’est un bien joli patchwork merci à la photographe et pour le partage de ce poème.
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Merci à vous d’être passé!
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J’aime beaucoup les mots qui découlent de cette photo.
C’est vraiment une belle inspiration. Merci Vève !
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Comme c’est gentil. Merci tant, Laurence.
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Vingt belles images qui t’ont bien inspiré. Merci pour le partage amie poétesse.
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Tu as l’œil, cher ami et poète. Vingt petites cases, et autant de constellations… ✨❣️
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Très belle évocation que celle de l’oubli sous la chaise, cela m’ouvre la voie à la réflexion
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Oh, si heureuse de cela! C’est ainsi que la poésie fructifie. ✨❣️
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