suite en vers libre
Elle a refermé son auge avide à l’orée du bois de l’amant musc minéral et désir posés à plat sur l’aube patinée comme un cerne à sécher depuis toujours. Il a relevé ses manches d’herbes et de tourbe l’inéluctable signal d’amour enroulé à ses reins. ➖ L’air n’en finit plus d’entrer. … … … …

NDLR (Vève): J’ai écrit cette suite en écho à un tout récent poème de Bruno Mabille [https://www.facebook.com/bruno.mabille.969]. Je l’en remercie!
PUBLICATIONS
Merci pour ta poésie Geneviève, en dehors des chemins tracés d’avance.
Je vais lire Souffles Avant!
Je t’embrasse. Françoise
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Merci d’être passée, Françoise!
Moi, j’ai tes « Êtres » à lire… c’est dans la pile, pas trop bas!
Tendresse. ✨❣️
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En plus d’avoir appris un nouveau mot « auge », j’ai savouré ce délicat poème. La toile de Georgia O’keeffe est magnifique. Un beau tout !
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L’écho de ton passage me fait plaisir, GS. Merci! 🤩
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