suite en vers libre
Un jour j’ai ouvert tout entier le seuil à ton soleil mille ans après les heures ne sont ni semaines ni mois mais des éclats de fruits rouges sur nos bois de même sang je ne rêve pas je vois tes sabots danser. … … … …

peintre néerlandais et pionnier de l’abstraction, 1908-1909.
Musée municipal de La Haye. Crédit photo: Facebook (Ars gratis artis – mutatis mutandis).
PUBLICATIONS
Superbe !
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Très beau texte Genevieve! Epure.
Je t’embrasse
F.S.
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Merci d’être passée, chère amie. En union de pensées, je t’embrasse aussi!
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C’est tellement beau, Geneviève !
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salut Vève ta poésie est très « poétique » Daniel Joyal
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Agréable à lire Vève. J’étais absent du net depuis un moment. Je reviens et et je suis heureux de te lire. Pensées amicales.
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Bonjour cher ami et poète. Pas de souci, j’ai été absente moi aussi… Ravie de ton retour. Merci pour ton regard! Amitiés.
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Toutes ces poésies sont absolument délicieuses à lire. A déguster sans modération.
Merci à toi pour tes partages 🙏❤
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En retour, à moi de te remercier pour l’écho de ton passage, amie SOLène! ✨❣️
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Ce joli poème est tout à fait adapté au tableau, merci pour ce partage.
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j’ai lu dans un commentaire précédent que votre poésie était très… poétique, c’est très vrai ! Que j’aime ce poème de « mille ans après », de presque l’éternité !
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Merci du cœur, Frédéric.
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